La circulation dans le village
Par Démocratie Participative le lundi 30 août 2010, 09:39 - Lien permanent
Le village est le plus ancien quartier de notre commune. Il a été construit autour d’un chemin conçu pour la circulation des animaux et des piétons. Aujourd’hui, des milliers de voitures empruntent quotidiennement cet axe pour se rendre rapidement à Brabois. La qualité de vie des riverains s’en trouve donc altérée. Les municipalités successives ont tenté de limiter le flux des automobilistes, grâce à des feux tricolores et des rétrécissements de la voirie.
De plus, l’urbanisation galopante du plateau de Brabois (extension de l’hôpital, remontée de nouvelles universités, nouveaux logements sur Villers, création d’une zone industrielle entre Chavigny et Vandœuvre) va encore aggraver la situation.
Que faudrait-il faire ? Quelle est votre analyse sur cette question essentielle pour la survie de ce quartier ?
Commentaires
Il faut effectivement aménager la circulation dans la rue Gambetta et les rues alentour, en forçant notamment les voitures à rouler moins vite (la vitesse 30 n'est pas respectée). Les emplacements de parking se font trop rares également, avec la multiplication des logements dans ce quartier. Mais pour assurer la survie du quartier, puisque vous demandez notre avis, il faut absolument préserver les deux écoles (maternelle et élémentaire). Actuellement, l'école maternelle est menacée malgré une classe en sur-effectif. Malgré un discours qui se veut rassurant, la mairie ne soutient pas assez les parents dans leur combat (passivité, retard dans les actions...). Voulez-vous vraiment que ce quartier devienne uniquement un lieu de passage et un "dortoir"?
@la Villageoise
Les réglages des feux tricolores ont été ajustés, afin d’éviter que les automobilistes roulent à vive allure pour espérer avoir le feu vert. Un nouveau rétrécissement est programmé en bas du village, dans la dernière ligne droite.
En ce qui concerne l’avenir de l’école maternelle de Bellevue, la mairie a agrandi le périmètre scolaire, pour qu’il y ait suffisamment d’élèves, permettant ainsi le maintien de l’école.
M. Donati le 18/01/11.